Le 8 juin, pour la Journée des océans, rappelons-nous l’importance de cette incroyable source de vie

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Célébrée le 8 juin, la journée des océans sensibilise les habitants du monde entier à la santé des océans depuis 10 ans. Alors que plus de 90% des 10 espèces de poissons les plus pêchés sont en voie de disparition, il est urgent d’adapter nos activités pour ne plus détruire sur la vie marine et sous-marine.

5 océans trésors biodiversité, tous menacés

Sous le bleu de l’eau s’étendant à perte de vue, les 5 océans de la planète Terre cachent dans leurs profondeurs des millions d’êtres vivants, d’une diversité incroyable. Mammifères, poissons, mollusques, reptiles, planctons… Nous savons déjà que plus de 240 000 espèces différentes habitent les fonds marins. Et les scientifiques supposent qu’il en reste 5 fois plus à découvrir ! Malheureusement, du fait d’une pêche intensive et disproportionnée, les populations marines ont été divisées par 2 en un peu plus de 40 ans seulement… Rien qu’en 2016, ce sont 91 millions de tonnes de poissons qui ont été pêchés, soit une hausse de près de 400% depuis 1950 ! (1)

À notre échelle, nous pouvons tous agir en faisant attention à notre consommation de poisson : une à deux portions par semaine, si l’on suit la recommandation de l’Agence nationale de sécurité sanitaire (Anses).  On peut également privilégier les espèces non menacées, et se fier aux labels qui nous indiquent qu’un poisson est issu d’une pêche durable, comme les label MSC, Agriculture Biologique, ASC, Pavillon France… Nous encouragerons ainsi les producteurs à adopter des pratiques toujours plus responsables.

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Plastiques, destination finale : l’océan

8 millions de tonnes de plastique sont déversées chaque année dans les océans, où ils se décomposent lentement sous l’effet des vagues, des courants et des UV. Ils se transforment petit à petit en micro-particules impossibles à repêcher. Ils contaminent ensuite les poissons et crustacés qui les ingèrent avant de se retrouver dans nos assiettes lorsque nous mangeons du poisson sauvage. (2)

Au quotidien, si l’on veut limiter cette pollution, mieux vaut diminuer nos utilisations de plastiques jetables, en achetant par exemple moins de produits suremballés et privilégiant le réutilisable et le vrac. Couplés à des mesures locales, comme la généralisation des fontaines à eau potable, ou l’interdiction de l’utilisation du plastique jetable dans des événements publics, nos petits gestes peuvent à long terme diminuer la quantité de plastiques rejetés dans nos océans.

 

ENGIE, partenaire d’Oceanopolis depuis 30 ans

Depuis 30 ans, ENGIE s’est associé à Océanopolis pour aider l’aquarium géant de Brest à mener à bien sa mission : faire changer les regards sur l’Océan et aider les visiteurs à mieux comprendre sa biodiversité, pour mieux la préserver.

Sur place, une équipe ENGIE Solutions de 9 personnes, accompagne le parc et le fait profiter de son expertise en terme maintenance des installations de chauffage, ventilation, climatisation, aquariologie… Avec pour objectif une baisse des consommations d’électricité et de gaz de 10 %.

ENGIE Solutions intègre également 50 % d’électricité renouvelable issue du parc solaire de Fanjeaux, et permet ainsi à Océanopolis de contribuer au développement de l’énergie renouvelable en France ! 

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